La société DIAFIR (www.diafir.com) est une SA rennaise fondée en 2011, par une équipe de scientifiques et d’industriels, avec l’expérience de création de 7 sociétés et le dépôt de plus de 25 brevets.

DIAFIR développe des applications infrarouges nouvelles basées sur des optiques innovantes.

Son objectif est de devenir une entreprise spécialisée dans la fabrication de capteurs optiques infrarouges basée sur des technologies innovantes.

Le capital est détenu par le fonds d’investissement GO CAPITAL et les fondateurs : Hugues Tariel (PDG), Joel Renault (fondateur de Delta Dore), Jacques Lucas (université Rennes, Académie des Sciences), XH Zhang (université rennes - CNRS), Olivier Loréal (INSERM), Catherine Boussard (CNRS), Bruno Bureau et Laurent Calvez (université de Rennes)

DIAFIR développe un capteur innovant, adapté au monde clinique, qui permet une mesure immédiate et simple par spectroscopie infrarouge, ainsi que la chaine de mesure associée.
Cela permet d’éviter de réaliser une biopsie provoquant des lésions et permet de gagner en réactivité sur l’analyse.

DIAFIR emploie actuellement 6 personnes.

Diafir est la société en charge du projet de Recherche et Développement OPTIMA, réunissant l’université de Rennes 1 et la société Thales Angénieux.
Ce projet vise à développer des optiques Infra rouge à bas cout pour les applications militaires et civiles.

Le projet OPTIMA requiert l’installation d’une ligne pilote de production de verre infrarouge représentant un investissement total de 600 000 euros.
Cette ligne permettra de réaliser le verre infrarouge, à partir de poudres métalliques mélangées sous atmosphère inerte.
Cette ligne va constituer la base de l’outil industriel DIAFIR.

Il est ensuite nécessaire de mouler le verre en une forme optique et de la contrôler afin d’obtenir un produit commercialisable.
Cette opération est réalisée sous vide avec des précisions inférieures au micron sur une presse haute précision.
La ligne de production Diafir sera unique en Europe

L’INFRAROUGE

L’infrarouge est un outil développé à l’origine pour des applications militaires qui trouve de plus en plus de place dans notre vie quotidienne.
Le diagnostic médical fait appel à cette technique qui permet d’obtenir rapidement et simplement une signature biologique, qui sert de base au diagnostic de maladies telle que le cancer, les hépatites ou les infections.

Outre le diagnostic médical, les applications optiques dans le moyen infrarouge permettent la vision nocturne, la détection de personnes, la thermographie…
Ce qui concrètement permet :
• La détection de piétons pour l’automobile ; cette fonction pour l’instant réservée au segment premium (BMW série 7, Audi A8, Rolls Royce..),
• L’analyse de gaz in situ pour le contrôle de la qualité de l’air, rendue de plus en plus nécessaire par le calfeutrage croissant des bâtiments…
• La détection d’intrusion et comptage de personnes, domotique et environnement de vie….
• Le contrôle de température intérieure.

La baisse du cout de l’infrarouge permet une démocratisation rapide de l’infrarouge, symbolisée par l’apparition en 2016 du premier téléphone portable équipé d’une caméra infrarouge.

Pourquoi allons-nous rembourser?

Plan de financement initial :
50% de l’investissement total soit 300 000 euros est financé sur les fonds propres de DIAFIR
25% de l’investissement soit 150 000 euros est financé par un emprunt bancaire auprès d'une banque régionale.

Mise à jour du plan de financement en date du 20 Juin 2016 :

25% de l’investissement soit 150 000 euros est financé par un emprunt bancaire auprès d'une banque régionale.
25% de l’investissement soit 150 000 euros est financé par un emprunt bancaire auprès d'une banque régionale.
43,8% de l'investissement soit 262 500 euros est financé sur les fonds propres de la société.
6,2% de l'investissement soit 37 500 euros sera financé par le crowdfunding.

DIAFIR dispose fin 2015 d’une trésorerie de 245 000 euros et de 1 501 000 euros de fonds propres.
Le projet OPTIMA représente un budget global de 2.5 M€ sur 3 ans, dont 1,2 M€ pour DIAFIR financé à hauteur de 840 K€.
Il garantit un revenu conséquent à la société sur les trois prochaines années.

En parallèle, les ventes des premiers produits diagnostiques démarrent en 2016, avec un carnet de commande garantissant à Mars 2016 66 % du budget prévu.

Même si le résultat restera déficitaire en raison de l’effort marketing et commercial nécessaire ; celui-ci sera financé par un apport en capital prévu comme pour tout lancement commercial médical.

L'acquisition des équipements aura lieu à partir du mois de juin 2016.