GwenneG vous informe des risques spécifiques encourus lors d’un investissement dans des sociétés non cotées.
Informations sur les risques
Pour des actions :
L’investissement en actions sur la plateforme de GwenneG n’implique pas un retour sur investissement régulier (dividendes). Les entreprises présentées sont en effet dans une phase de démarrage et de croissance. Elles ne sont généralement pas profitables. Dans le cas d’entreprises profitables, cette phase implique de forts investissements et donc un réinvestissement total des profits réalisés pour alimenter la croissance.
Les risques suivants liés à l’investissement en capital dans de jeunes sociétés non cotées sont les suivants :
- Risque de perte partielle ou totale du capital investi
- Risque d’illiquidité concernant les titres souscrits : l’investisseur qui souhaite revendre ses titres après un investissement peut rencontrer des difficultés à trouver un acquéreur. En effet, la revente des titres n’est pas garantie. Elle peut être incertaine voire impossible. Il est rappelé que la valeur des titres peut baisser de façon significative pendant la recherche d’un éventuel acquéreur. Il est recommandé d’être vigilant sur les conditions de rachat des titres.
- Risque d’absence de valorisation des titres à la revente : les titres accessibles à la souscription ne sont pas admis sur un marché français ou étranger. Il est impossible de connaître la valeur exacte des titres de la société puisqu’il n’existe pas de valeur de marché ou de règles permettant de fixer leur valeur réelle. Ainsi, la valorisation réelle des titres peut-être très inférieure à leur valorisation théorique.
- Dilution : les investissements auprès d’entreprises sur la plateforme GwenneG peuvent être sujets à des dilutions futures. La dilution se matérialise lorsqu’une société émet de nouvelles actions. La dilution affecte tous les actionnaires existants qui n’achètent pas une partie des nouvelles actions émises. Le résultat pour un actionnaire existant est que sa part au capital se retrouve réduite (ou diluée), les implications sont sur le droit de vote, le droit au dividende et la plus-value.
Pour les obligations :
L’investissement en obligations fait porter un risque de perte totale ou partielle du capital investi, pour une espérance de gain limitée au rendement éventuellement perçu. Le remboursement des obligations n’est de ce fait, pas garanti. Il peut être incertain voire impossible.
- Risques liés au remboursement anticipé à l’option de l’émetteur : le contrat d’émission d’obligations permet parfois à l’émetteur de rembourser les obligations par anticipation lorsque, par exemple, son coût d’emprunt est plus bas que le taux d’intérêt des obligations. La mise en œuvre d’un remboursement anticipé pourra réduire significativement le rendement attendu par un investisseur qui, dans cette hypothèse, n’est pas assuré de pouvoir réinvestir les fonds ainsi remboursés à un taux équivalent à celui servi par les obligations remboursées. Chaque investisseur potentiel doit donc prendre connaissance du contenu du contrat d’émission d’obligations et tenir compte du risque lié au réinvestissement, à la lumière des autres investissements disponibles au moment de la souscription ou de l’acquisition par lui des obligations.
- Modification des conditions du contrat d’émission d’obligations : les porteurs d’obligations seront groupés en une masse (une masse par émission) pour la défense de leurs intérêts communs et pourront se réunir en assemblée générale. L’assemblée générale des obligataires ne peut ni acquérir, ni accroître les charges des obligataires, ni établir un traitement inégal entre eux. Toutefois, l’assemblée générale des obligataires peut modifier certaines caractéristiques des titres émis ou du contrat d’émission dans les conditions prévues par la loi. Toute modification approuvée par l’assemblée générale de la masse des obligataires s’imposera à l’ensemble des porteurs des obligations, y compris ceux qui ont voté contre la résolution considérée ou qui n’étaient pas présents ou représentés à l’assemblée générale.
- Absence de garantie : il convient de se reporter au DIRS de chaque offre obligataire pour connaître les éventuelles garanties dont les obligations seraient ou non assorties.
- Risque de crédit / de défaut : les porteurs d’obligations sont exposés au risque de crédit de l’émetteur, à savoir le risque que l’émetteur soit incapable de remplir ses obligations financières vis-à-vis des porteurs, entraînant de fait une perte partielle ou totale pour l’investisseur.
- Séniorité : la séniorité correspond au rang de priorité de remboursement des obligataires parmi tous les créanciers de l’émetteur. Il convient de se reporter au DIRS de chaque offre pour connaître la séniorité des obligations.
- Risque d’absence de valorisation des titres à la revente : les titres accessibles à la souscription ne sont pas admis sur un marché français ou étranger. Il est impossible de connaître la valeur exacte des titres de la société puisqu’il n’existe pas de valeur de marché ou de règles permettant de fixer leur valeur réelle. Ainsi, la valorisation réelle des titres peut-être très inférieure à leur valorisation théorique.
- Dans le cas d’obligations immobilières : le risque opérationnel peut notamment concerner des retards dans la réalisation du programme immobilier et dans sa commercialisation et entrainer une rentabilité inférieure aux prévisions. Le taux de rendement cible présenté (net de frais par an et non capitalisé) ne présente pas une garantie de performance, ce dernier étant fourni à titre indicatif. Malgré toute l’attention portée à la sélection des projets en cas de défaillance dans la réalisation du projet, vous pouvez perdre jusqu’à la totalité de votre capital et de vos intérêts.
GwenneG ne garantit pas vos investissements et vous recommande :
- la diversification de vos investissements
- l’investissement d’une partie non significative de votre épargne
- l’investissement de sommes qui ne sont pas nécessaires à court terme
- la lecture des documentations avant d’investir (FICI, CGU)
- s’informer sur les titres, les marchés et consulter des professionnels
- s’informer sur la fiscalité et consulter un conseiller fiscal